GhostWalkersTome 2 : Jeux d'esprit
de Christine Feehan
Editions Milady
Sortie le 26 août 2011
Format poche / Prix 7,60€
Sortie le 26 août 2011
Format poche / Prix 7,60€
Présentation de l'éditeur :
Dotée d’un pouvoir psychique particulièrement puissant, Dahlia Le Blanc a passé sa vie isolée des autres. Et alors qu’elle pense qu’elle a finalement atteint la paix dans sa vie, son monde va s’écrouler autour d’elle...
Pour une raison qu’elle ne comprend pas, elle est devenue la cible d’assassins. Soudain, aucun endroit n’est sûr pas même le refuge qu’elle avait installé longtemps auparavant. Elle doit au contraire compter sur Nicolas Trevane, un guerrier dangereux qui a été lancé à ses trousses pour la protéger. Ensemble, ils font des étincelles. Dahlia ne croyait pas que c’était possible. Mais peut-elle faire confiance à un tel homme ?
L'avis de Kamana :
Ce qui est bien avec les éditions Milady, c’est qu’ils nous permettent
d’avoir les deux premiers tomes de leurs nouvelles séries le même jour.
Est-ce un bien ?
Je dirai que oui, si comme pour les GhostWalkers, le tome d’ouverture
laisse à désirer. Au moins le fait d’acheter les deux vous pousse à
continuer l’expérience. Et fort est de reconnaître que ce deuxième opus
est un peu meilleur que le premier. Certes, tout est question de goût,
mais il est bon d’admettre que pour la plus grosse partie du roman, il
n’est pas question de sexe. Ouf ! Forcément, l’attraction est
présente, les hormones bouillent, la tension est à son summum mais
Christine Feehan s’est calmée sur les scènes voluptueuses. Merci !
Lily Withney a pris sous son aile tous les GhostWalkers pour les aider à forger des barrières psychiques leur permettant de vivre normalement. Maintenant que leurs efforts ont porté, ils sont tous en quête des femmes qui, enfants, ont subi les expériences de feu le docteur Withney. C’est ainsi que Lily retrouve la trace d’une des fillettes cobaye de son père. Devenue une femme surentraînée et dangereuse, Dalhia LeBlanc vit à l’écart du monde en plein bayou, aussi bien pour protéger les autres de son pouvoir dévastateur, que pour se défendre elle-même des assauts psychiques douloureux et invivables que le commun des mortels propage sans le savoir. Elle est une sorte d’aimant à émotions, s’accaparant toutes les ondes, se surchargeant et devenant une bombe vivante avec un trop plein d’énergie qu’elle n’arrive pas contenir, mettant ainsi le feu à tout et n’importe quoi sous le coup de la colère. Un vrai danger public !
Nicolas Trevane, le plus ténébreux des GhostWalkers, est un stabilisateur puissant, calmant les énergies du groupe. Il décide de se porter volontaire pour extraire Dalhia de son île isolée et la ramener auprès de Lily. Il sait qu’il est le plus à même de réussir cette mission : il n’hésitera pas à la tuer si elle devient un danger, acte qu’il juge infaisable de la part de ses compagnons d’armes avec leurs cœurs d’artichauts.
Arrivé sur place, il ne se retrouve pas seul sur l’île. Une équipe de assassins est arrivée avant lui. Ils veulent tuer Dalhia mais comme ils ne la trouvent pas, ils n’hésitent pas à mettre le lieu à feu et à sang, torturant puis kidnappant son chef et ami. C’est dans ces conditions que Nicolas la retrouve et la sauve. Et tout bascule. Lui, le calme au regard de glace, celui que rien ni personne n’atteint succombera aux charmes de Dalhia. Le mélange de force et de fragilité que dégage la jeune femme viendra à bout de toutes ses résistances. D’ailleurs ce n’est même plus lui qui lutte contre cette attirance mais bien elle…
Nicolas est la seule personne capable de contenir l’énergie de la jeune femme. Et grâce à sa présence, ils partent tous deux en quête du traître qui a donné Dalhia en pâture à des assassins.
Et voilà que commence un duel gentillet entre tension sexuelle constante et suspense mortel. Mortel pour qui ? Les protagonistes ou nous ?
L’auteure nous offre dans la première partie du livre une histoire intéressante n’abusant pas de son penchant pour les scènes de sexe intenses. Elle s’attarde sur les personnages principaux les décortiquant minutieusement. Il faut dire qu’à eux deux avec leur passé et leurs caractères complexes, elle peut se le permettre. L’intrigue avance doucement… trop doucement. Arrivés à la moitié, on a envie que ça bouge, que ça saigne, presque prêt à secouer le livre pour accélérer le rythme. Et pour combler le tout, l’auteure choisit ce moment pour mettre en scène le côté sensuel… Les passages sulfureux s’enchaînent et le suspense retombe d’un coup. La plume de Christine Feehan devient fade, pesante par moments, rabâchant les mêmes aspects des personnages ou partageant toujours les mêmes situations.
Le roman a du potentiel mais il est, comme pour le premier, trop long. Cinq cent pages juste pour sauver une GhostWalkers de ses démons et de meurtriers, c’est vraiment exagéré. Le pire, c’est que le dénouement ne nous est d’aucun secours. Je ne peux en dire plus mais j’ai été assez déçue par la fin.
Un roman qui laisse un sentiment mitigé. Une première partie prenante qui s’essouffle petit à petit pour se terminer par une déception. Après, tout n’est qu’une question de goût pour chacun.
Lily Withney a pris sous son aile tous les GhostWalkers pour les aider à forger des barrières psychiques leur permettant de vivre normalement. Maintenant que leurs efforts ont porté, ils sont tous en quête des femmes qui, enfants, ont subi les expériences de feu le docteur Withney. C’est ainsi que Lily retrouve la trace d’une des fillettes cobaye de son père. Devenue une femme surentraînée et dangereuse, Dalhia LeBlanc vit à l’écart du monde en plein bayou, aussi bien pour protéger les autres de son pouvoir dévastateur, que pour se défendre elle-même des assauts psychiques douloureux et invivables que le commun des mortels propage sans le savoir. Elle est une sorte d’aimant à émotions, s’accaparant toutes les ondes, se surchargeant et devenant une bombe vivante avec un trop plein d’énergie qu’elle n’arrive pas contenir, mettant ainsi le feu à tout et n’importe quoi sous le coup de la colère. Un vrai danger public !
Nicolas Trevane, le plus ténébreux des GhostWalkers, est un stabilisateur puissant, calmant les énergies du groupe. Il décide de se porter volontaire pour extraire Dalhia de son île isolée et la ramener auprès de Lily. Il sait qu’il est le plus à même de réussir cette mission : il n’hésitera pas à la tuer si elle devient un danger, acte qu’il juge infaisable de la part de ses compagnons d’armes avec leurs cœurs d’artichauts.
Arrivé sur place, il ne se retrouve pas seul sur l’île. Une équipe de assassins est arrivée avant lui. Ils veulent tuer Dalhia mais comme ils ne la trouvent pas, ils n’hésitent pas à mettre le lieu à feu et à sang, torturant puis kidnappant son chef et ami. C’est dans ces conditions que Nicolas la retrouve et la sauve. Et tout bascule. Lui, le calme au regard de glace, celui que rien ni personne n’atteint succombera aux charmes de Dalhia. Le mélange de force et de fragilité que dégage la jeune femme viendra à bout de toutes ses résistances. D’ailleurs ce n’est même plus lui qui lutte contre cette attirance mais bien elle…
Nicolas est la seule personne capable de contenir l’énergie de la jeune femme. Et grâce à sa présence, ils partent tous deux en quête du traître qui a donné Dalhia en pâture à des assassins.
Et voilà que commence un duel gentillet entre tension sexuelle constante et suspense mortel. Mortel pour qui ? Les protagonistes ou nous ?
L’auteure nous offre dans la première partie du livre une histoire intéressante n’abusant pas de son penchant pour les scènes de sexe intenses. Elle s’attarde sur les personnages principaux les décortiquant minutieusement. Il faut dire qu’à eux deux avec leur passé et leurs caractères complexes, elle peut se le permettre. L’intrigue avance doucement… trop doucement. Arrivés à la moitié, on a envie que ça bouge, que ça saigne, presque prêt à secouer le livre pour accélérer le rythme. Et pour combler le tout, l’auteure choisit ce moment pour mettre en scène le côté sensuel… Les passages sulfureux s’enchaînent et le suspense retombe d’un coup. La plume de Christine Feehan devient fade, pesante par moments, rabâchant les mêmes aspects des personnages ou partageant toujours les mêmes situations.
Le roman a du potentiel mais il est, comme pour le premier, trop long. Cinq cent pages juste pour sauver une GhostWalkers de ses démons et de meurtriers, c’est vraiment exagéré. Le pire, c’est que le dénouement ne nous est d’aucun secours. Je ne peux en dire plus mais j’ai été assez déçue par la fin.
Un roman qui laisse un sentiment mitigé. Une première partie prenante qui s’essouffle petit à petit pour se terminer par une déception. Après, tout n’est qu’une question de goût pour chacun.
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