L'Invention d'Hugo
Cabret
de Brian Selznick
Editions : Bayard Jeunesse
Format broché / 12,90€ / 501 pages
de Brian Selznick
Editions : Bayard Jeunesse
Format broché / 12,90€ / 501 pages
Présentation de l'éditeur :
L’invention de Hugo Cabret est un livre d’une originalité
profonde, où les images ont la même importance narrative que les
textes.
L’expression « roman graphique » semble avoir été forgée pour lui. Sur les 533 pages qui le composent, seule 182 sont véritablement du texte, le reste est composé d’images au crayon, dessinées par l’auteur, ou de photographies noir et blanc d’époque. L’intelligence de l’auteur est de ne pas limiter leur rôle à la restitution d’un Paris devenu mythique, celui de cette Belle époque, où le cinéma s’invente, où la modernité s’affirme dans les arts comme dans les sciences. Ici les images ne sont pas illustratives, elles sont narratives. Il faut les lire et les faire sienne comme les mots d’un texte. Elles sont dans les mailles d’une histoire.
A sa manière Brian Selznick amplifie le travail entamé il y a longtemps par Chris Van Allsburg. Mais ce qui aurait pu n’être qu’une manière, une astuce formelle de plus, charpente ici une histoire passionnante, énigmatique, laissant place à l’imaginaire, tout en ce faisant un bel hommage à des artistes comme Georges Méliès.
Livre ouvert, il s’offre, à notre époque qui s’affirme comme celles des images, comme un moyen étrange, peut-être inédit, mais certainement d’une indispensable initiative, de ne plus limiter la lecture aux mots et de l’étendre aux images.
Avis de Chani
L’expression « roman graphique » semble avoir été forgée pour lui. Sur les 533 pages qui le composent, seule 182 sont véritablement du texte, le reste est composé d’images au crayon, dessinées par l’auteur, ou de photographies noir et blanc d’époque. L’intelligence de l’auteur est de ne pas limiter leur rôle à la restitution d’un Paris devenu mythique, celui de cette Belle époque, où le cinéma s’invente, où la modernité s’affirme dans les arts comme dans les sciences. Ici les images ne sont pas illustratives, elles sont narratives. Il faut les lire et les faire sienne comme les mots d’un texte. Elles sont dans les mailles d’une histoire.
A sa manière Brian Selznick amplifie le travail entamé il y a longtemps par Chris Van Allsburg. Mais ce qui aurait pu n’être qu’une manière, une astuce formelle de plus, charpente ici une histoire passionnante, énigmatique, laissant place à l’imaginaire, tout en ce faisant un bel hommage à des artistes comme Georges Méliès.
Livre ouvert, il s’offre, à notre époque qui s’affirme comme celles des images, comme un moyen étrange, peut-être inédit, mais certainement d’une indispensable initiative, de ne plus limiter la lecture aux mots et de l’étendre aux images.
Avis de Chani
Hugo Cabret est un petit garçon qui a
perdu son père dans un incendie. Recueilli par oncle, qui a lui-même disparu, il
prend sa relève et continue l’entretien des horloges de la gare pour ne pas être
placé. En effet, Hugo veut continuer l’œuvre de son père, la restauration d’un
vieil automate. Pour mener son travail a bien, Hugo a besoin de pièces, et va
voler des jouets mécaniques au kiosque à jouets de la gare. Comme on pouvait s’y
attendre, le petit garçon va se faire prendre la main dans le sac…
Habile mélange de texte, d’illustrations et de photos, L’invention de Hugo Cabret est une merveille. Les images ne sont pas présentes que pour illustrer le propos, elles racontent l’histoire par moments, et font prendre vie au roman.
Séduite par les mots et les images, j’ai complétement adhéré à cet univers magique. J’ai été transportée dans les années trente, au cœur de la gare Montparnasse, et j’attendais fébrilement que l’automate délivre son message.
Destiné à un jeune public, L’invention de Hugo Cabret ravira aussi les plus grands qui ont gardé une part de magie en eux…
Habile mélange de texte, d’illustrations et de photos, L’invention de Hugo Cabret est une merveille. Les images ne sont pas présentes que pour illustrer le propos, elles racontent l’histoire par moments, et font prendre vie au roman.
Séduite par les mots et les images, j’ai complétement adhéré à cet univers magique. J’ai été transportée dans les années trente, au cœur de la gare Montparnasse, et j’attendais fébrilement que l’automate délivre son message.
Destiné à un jeune public, L’invention de Hugo Cabret ravira aussi les plus grands qui ont gardé une part de magie en eux…
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