Le Cas Jack Spark
Saison 4 : Printemps Humain
de Victor Dixen
Editions Jean-Claude Gawsewitch
Sortie le 20 avril 2012
Format Broché / 368 pages / 22,90 €
Présentation de l'éditeur
Et si les Fés étaient à l’origine de la pire crise économique de l’Histoire ?
Un siècle après l’apocalypse qui a plongé la Terre dans le chaos (Saison 3 - Hiver nucléaire), Jack Spark est aujourd’hui à la tête de Concordiapolis, mégalopole d’un monde nouveau où les Fés et les Humains se sont réconciliés après des millénaires de lutte. Une coexistence qui repose sur un fragile équilibre car du haut des tours d’acier, hommes d’affaires et Fés influents ont bâti des empires sur l’endettement des ménages, distribuant à tour de bras des crédits remboursables en Flux, l’énergie vitale des humains. Dans les bas-fonds de la cité, la révolte gronde : les citoyens humains, à bout de force, ne peuvent plus payer leurs impôts ni rembourser leurs emprunts. Ils se sont donné un nom, qui sonne comme un cri de guerre, les Insurgés. Toutes les révolutions commencent par le cri de ceux qui souffrent. Toutes les crises se nourrissent du désespoir de ceux qui payent. Tous les printemps fleurissent sur les restes de ceux qui meurent.
Crise financière, spirale du surendettement, spéculation, révolte de toute une génération qui ne voit plus d’avenir : tous les ingrédients d’un roman noir, à forte connotation sociale, qui fait écho aux problématiques de notre monde contemporain à travers le prisme démultipliant du fantastique.
Crise financière, spirale du surendettement, spéculation, révolte de toute une génération qui ne
voit plus d’avenir : tous les ingrédients d’un roman noir, à forte connotation sociale, qui fait écho
aux problématiques de notre monde contemporain à travers le prisme démultipliant du fantastique.
Victor Dixen est né il y a trente ans d’un père danois et d’une mère française. Après avoir passé
plusieurs années aux États-Unis, il vit aujourd’hui à Paris. Il occupe ses heures sans sommeil à
arpenter la nuit, traquant ses monstres et ses merveilles
Un siècle après l’apocalypse qui a plongé la Terre dans le chaos (Saison 3 - Hiver nucléaire), Jack Spark est aujourd’hui à la tête de Concordiapolis, mégalopole d’un monde nouveau où les Fés et les Humains se sont réconciliés après des millénaires de lutte. Une coexistence qui repose sur un fragile équilibre car du haut des tours d’acier, hommes d’affaires et Fés influents ont bâti des empires sur l’endettement des ménages, distribuant à tour de bras des crédits remboursables en Flux, l’énergie vitale des humains. Dans les bas-fonds de la cité, la révolte gronde : les citoyens humains, à bout de force, ne peuvent plus payer leurs impôts ni rembourser leurs emprunts. Ils se sont donné un nom, qui sonne comme un cri de guerre, les Insurgés. Toutes les révolutions commencent par le cri de ceux qui souffrent. Toutes les crises se nourrissent du désespoir de ceux qui payent. Tous les printemps fleurissent sur les restes de ceux qui meurent.
Crise financière, spirale du surendettement, spéculation, révolte de toute une génération qui ne voit plus d’avenir : tous les ingrédients d’un roman noir, à forte connotation sociale, qui fait écho aux problématiques de notre monde contemporain à travers le prisme démultipliant du fantastique.
Crise financière, spirale du surendettement, spéculation, révolte de toute une génération qui ne
voit plus d’avenir : tous les ingrédients d’un roman noir, à forte connotation sociale, qui fait écho
aux problématiques de notre monde contemporain à travers le prisme démultipliant du fantastique.
Victor Dixen est né il y a trente ans d’un père danois et d’une mère française. Après avoir passé
plusieurs années aux États-Unis, il vit aujourd’hui à Paris. Il occupe ses heures sans sommeil à
arpenter la nuit, traquant ses monstres et ses merveilles
Avis de Paupolle :
Cent
ans se sont écoulés depuis la fin de la terrible guerre opposant les
Fés et les humains. Désormais, ces deux peuples vivent en totale
harmonie sous l’œil attentif du Président-Mentor Jack Spark. Tous
respectent à la lettre la Déclaration des droits de l’Homme et du Fé,
prônant la liberté et l’égalité de chacun des individus de cette
nouvelle et fantastique société. Mais quelle douce illusion ! Qui arrive
encore à croire à tout cela ? Rien ne se déroule comme prévu… La seule
solution pour survivre ? Insurgez-vous !!!!
Déroutant et surprenant sont deux adjectifs décrivant ce quatrième opus à la perfection.
Déroutant…
Eh non, nous ne nous retrouvons pas aux côtés de Jack, Sinead, Josh et
les autres. Désormais c’est avec Caleb et Tiago qu’il faudra combattre !
Un père et un fils qui ne trouvent pas leur place dans cette société
gouvernée par une poignée de Fés fourbes et manipulateurs qui
asservissent des humains bien plus nombreux ! Ces deux personnages
attachants ne sont pas les seuls à attirer notre attention puisqu’il
faudra aussi notamment compter sur la mystérieuse Onyx et le vieux
Socrate qui a plus d’un tour dans son sac. Vous êtes déçus ? Il ne faut
pas, même si ce changement est déstabilisant au départ, il permet de
voir les choses sous un angle différent. En plus nos personnages
préférés (les meilleurs comme les plus mauvais) ne sont pas complètement
oubliés et font tous une petite apparition (parfois éclair) au détour
d’une page.
Surprenant… Au fil des pages, le lecteur passe de la
consternation à la surprise et est transbahuté de rebondissements
chaotiques en révélations ahurissantes. Concordiapolis semble parfois
être plus qu’une nouvelle création. Cette société aux antipodes de la
notre a bien des points communs avec celle dans laquelle nous nous
laissons porter : crise financière, spéculation boursière, riches trop
riches qui écrasent les pauvres, minorités, révoltes, peuple incompris
(ou même pas entendu du tout), dirigeants laxistes… Autant de sujets qui
percutent dans nos petites têtes lors d’une lecture au second degré.
Plus qu’un simple roman fantastique ou qu’une suite et fin longuement
attendue, Printemps humain est un miroir de notre société avec ses faiblesses, mais aussi ses forces. Et quelles forces ! À vous de les trouver…
Victor
Dixen clôt son cas Jack Spark d’une façon étrange, mais avec brio,
puisque la lecture de ce roman, qu’elle soit précédée ou non des trois
tomes précédents, ne peut pas laisser indifférente. N’oubliez pas…
Insurgez-vous !
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