Pure
Tome 2 : Fusion
de Julianna Baggott
Éditions J'ai Lu
Collection Semi Poche Imaginaire
Sortie le 12 juin 2013
Format semi-poche / Prix 14,90 €
Willux et les Purs sont en colère depuis la fuite de Partridge. S'il ne revient pas, leur vengeance entraînera une destruction totale. Mais depuis que ce dernier et ses amis Pressia et Bradwell connaissent la vérité sur le Dôme, ils veulent le renverser. Ils doivent rapidement trouver une solution.
Avis de Chani
Dans ce deuxième tome, le lecteur retrouve les personnages dont il a fait la connaissance dans Pure. Le rĂ©cit alterne entre les points de vue de Pressia, Partridge, Lyda et El Capitan, donnant un Ă©clairage multiple sur les Ă©vènements qui se dĂ©roulent simultanĂ©ment. Si chaque protagoniste Å“uvre Ă sa manière pour lutter contre les plans du père de Partridge, ils ont chacun leurs motivations, leurs moteurs et leurs idĂ©es propres sur la manière dont les choses doivent Ăªtre faites.
Selon moi le premier tome souffrait de quelques longueurs, mais ce n’est absolument pas le cas dans Fusion. Le lecteur n’a pas le temps de souffler, l’alternance des voix dans le rĂ©cit le poussant Ă continuer Ă tourner les pages pour savoir ce qu’il advient des uns et des autres. Les personnages sont aussi plus humains, avec des sentiments qui naissent en parallèle de leur but, des mentalitĂ©s qui Ă©voluent. Rien n’est figĂ©, aucun n’est manichĂ©en, et c’est justement ce qui les rend si attachants.
Le monde post-apocalyptique de Julianna Baggott est toujours très sombre et dur, empreint de violence, mais cette fois on peut entrapercevoir une lueur d’espoir. Ce tome, est plus « lumineux » si j’ose m’exprimer ainsi, la lecture est moins dĂ©primante, le lecteur sent que les choses changent, ou du moins sont en train de changer. Ă€ cĂ´tĂ© de cela il y a toujours les descriptions des fusionnĂ©s qui font mal, notamment avec les « Desparate fusionnĂ©es » qui me font encore froid dans le dos et ma gorge se serre toujours Ă leur Ă©vocation. Contrairement Ă ce que l’on pourrait penser, on ne s’habitue pas, le rĂ©alisme est trop prĂ©sent pour que le lecteur ne sente pas impliquĂ©.
La plume de l’auteur fait mouche, elle est d’une justesse incroyable dans l’action comme dans la description des sentiments, Julianna Baggott sait captiver l’attention du lecteur et use de tous les subterfuges pour qu’il ait du mal Ă lĂ¢cher le roman.
Ce deuxième tome a gagné en qualité et est bien mieux que le premier, il me tarde de lire la suite.
Avis de Chani
Dans ce deuxième tome, le lecteur retrouve les personnages dont il a fait la connaissance dans Pure. Le rĂ©cit alterne entre les points de vue de Pressia, Partridge, Lyda et El Capitan, donnant un Ă©clairage multiple sur les Ă©vènements qui se dĂ©roulent simultanĂ©ment. Si chaque protagoniste Å“uvre Ă sa manière pour lutter contre les plans du père de Partridge, ils ont chacun leurs motivations, leurs moteurs et leurs idĂ©es propres sur la manière dont les choses doivent Ăªtre faites.
Selon moi le premier tome souffrait de quelques longueurs, mais ce n’est absolument pas le cas dans Fusion. Le lecteur n’a pas le temps de souffler, l’alternance des voix dans le rĂ©cit le poussant Ă continuer Ă tourner les pages pour savoir ce qu’il advient des uns et des autres. Les personnages sont aussi plus humains, avec des sentiments qui naissent en parallèle de leur but, des mentalitĂ©s qui Ă©voluent. Rien n’est figĂ©, aucun n’est manichĂ©en, et c’est justement ce qui les rend si attachants.
Le monde post-apocalyptique de Julianna Baggott est toujours très sombre et dur, empreint de violence, mais cette fois on peut entrapercevoir une lueur d’espoir. Ce tome, est plus « lumineux » si j’ose m’exprimer ainsi, la lecture est moins dĂ©primante, le lecteur sent que les choses changent, ou du moins sont en train de changer. Ă€ cĂ´tĂ© de cela il y a toujours les descriptions des fusionnĂ©s qui font mal, notamment avec les « Desparate fusionnĂ©es » qui me font encore froid dans le dos et ma gorge se serre toujours Ă leur Ă©vocation. Contrairement Ă ce que l’on pourrait penser, on ne s’habitue pas, le rĂ©alisme est trop prĂ©sent pour que le lecteur ne sente pas impliquĂ©.
La plume de l’auteur fait mouche, elle est d’une justesse incroyable dans l’action comme dans la description des sentiments, Julianna Baggott sait captiver l’attention du lecteur et use de tous les subterfuges pour qu’il ait du mal Ă lĂ¢cher le roman.
Ce deuxième tome a gagné en qualité et est bien mieux que le premier, il me tarde de lire la suite.
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