Métro, Boulot, Pareo
de Nicola Doherty
Édition Milady Romance
Collection Central Park
Sortie le 25 octobre 2013
Poche / 7,60€
de Nicola Doherty
Édition Milady Romance
Collection Central Park
Sortie le 25 octobre 2013
Poche / 7,60€
Présentation de l'éditeur :
Un triangle amoureux et un dénouement inattendu !
Alice passe un été pourri, car sa carrière d'éditrice est au point mort, et elle vient de se faire larguer. Mais la roue tourne. Elle doit remplacer sa chef pour une super mission à l'étranger : s'isoler dans une villa de Sicile avec un acteur qu'elle admire afin de le pousser à finir son autobiographie. Or Alice doit se confronter à Sam, l'agent de la star, qui ne souhaite pas que ce projet voit le jour. La jeune femme va lutter pour tenter de remplir le contrat, mais elle va vite s'adonner à d'autres activités beaucoup moins professionnelles.
Avis de Chani
Alice est une jeune londonienne assistante d’édition qui vient juste de se faire larguer par Simon, rupture qu’elle n’avait pas vu venir et qu’elle a plutôt du mal à digérer. Elle va avoir l’occasion de se changer les idées et de partir en Sicile, devant remplacer sa chef au pied levé pour aller superviser l’écriture de la biographie de Luther Carson, acteur ô combien sexy. Mais la tâche va s’avérer plus ardue que ne le pensait la jeune femme, la star semblant peu concernée par le projet, protégée par Sam, son agent. Ce séjour au soleil ne sera peut-être pas aussi reposant que prévu, mais il sera l’occasion pour Alice de reprendre sa vie en main.
Le gros atout de Métro, boulot, paréo c’est le cadre de l’histoire qui fait voyager le lecteur au fil des pages. Si à l’heure actuelle la météo n’est pas vraiment clémente, ce roman permet de faire le plein de soleil. Mais, en revanche, son point faible est le peu de romance contenue entre ses pages. Il s’agit davantage des tribulations d’une jeune londonienne en Sicile que d’une véritable histoire sentimentale. La première moitié du livre est consacrée à la mise en place de l’histoire, au travail d’Alice et aux confessions de Luther, laissant la romance de côté. Quand enfin elle entre en scène il est un peu tard, le lecteur n’est plus vraiment dans l’ambiance. Et c’est dommage car la plume de Nicola Doherty est agréable, l’auteur a plein de bonnes idées, mais la façon dont elle les présente ne fonctionne pas quand on attend un roman d’amour. Du coup le temps est parfois un peu long et on se demande quand la mayonnaise va enfin prendre. La réponse est : trop tard.
Alice passe un été pourri, car sa carrière d'éditrice est au point mort, et elle vient de se faire larguer. Mais la roue tourne. Elle doit remplacer sa chef pour une super mission à l'étranger : s'isoler dans une villa de Sicile avec un acteur qu'elle admire afin de le pousser à finir son autobiographie. Or Alice doit se confronter à Sam, l'agent de la star, qui ne souhaite pas que ce projet voit le jour. La jeune femme va lutter pour tenter de remplir le contrat, mais elle va vite s'adonner à d'autres activités beaucoup moins professionnelles.
Avis de Chani
Alice est une jeune londonienne assistante d’édition qui vient juste de se faire larguer par Simon, rupture qu’elle n’avait pas vu venir et qu’elle a plutôt du mal à digérer. Elle va avoir l’occasion de se changer les idées et de partir en Sicile, devant remplacer sa chef au pied levé pour aller superviser l’écriture de la biographie de Luther Carson, acteur ô combien sexy. Mais la tâche va s’avérer plus ardue que ne le pensait la jeune femme, la star semblant peu concernée par le projet, protégée par Sam, son agent. Ce séjour au soleil ne sera peut-être pas aussi reposant que prévu, mais il sera l’occasion pour Alice de reprendre sa vie en main.
Le gros atout de Métro, boulot, paréo c’est le cadre de l’histoire qui fait voyager le lecteur au fil des pages. Si à l’heure actuelle la météo n’est pas vraiment clémente, ce roman permet de faire le plein de soleil. Mais, en revanche, son point faible est le peu de romance contenue entre ses pages. Il s’agit davantage des tribulations d’une jeune londonienne en Sicile que d’une véritable histoire sentimentale. La première moitié du livre est consacrée à la mise en place de l’histoire, au travail d’Alice et aux confessions de Luther, laissant la romance de côté. Quand enfin elle entre en scène il est un peu tard, le lecteur n’est plus vraiment dans l’ambiance. Et c’est dommage car la plume de Nicola Doherty est agréable, l’auteur a plein de bonnes idées, mais la façon dont elle les présente ne fonctionne pas quand on attend un roman d’amour. Du coup le temps est parfois un peu long et on se demande quand la mayonnaise va enfin prendre. La réponse est : trop tard.
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