W.A.R.P.
Tome 1 : L'assassin malgré lui
d'Eoin Colfer
Éditions Gallimard Jeunesse
Sortie le 9 janvier 2014
Format broché / 400 pages / Prix 18,00 €
Tome 1 : L'assassin malgré lui
d'Eoin Colfer
Éditions Gallimard Jeunesse
Sortie le 9 janvier 2014
Format broché / 400 pages / Prix 18,00 €
Présentation de l'éditeur :
WARP : nom de code d'un programme de protection ultra secret du FBI. Londres, 1898… Riley, un orphelin de 14 ans, vient de commettre son premier crime, poussé par son mentor, Albert Garrick, un ancien illusionniste devenu tueur à gages. L’apprenti assassin et sa victime se dissolvent soudainement et se retrouvent catapultés au XXI e siècle. Ils reprennent forme humaine dans une capsule métallique, située au sous-sol d’une maison de Bedford Square, Q.G du programme WARP. Chevie Savano, une jeune agente du FBI, a justement pour mission de surveiller cette capsule. Mais elle n’était pas précisément préparée à recevoir un jeune garçon au look anachronique accompagné d’un cadavre… qui n'est autre que l'inventeur du programme WARP.
Une hallucinante course-poursuite dans le temps s’engage, Riley et Chevie Savano tentant d’échapper au plus redoutable des meurtriers, Albert Garrick, mais aussi de l’empêcher de retourner dans son époque, investi d’un pouvoir qui pourrait à jamais changer le monde.
L'avis de Chani
Le livre s’ouvre sur Riley, un gosse des rues du XIXème siècle, apprenti malgré lui d’un psychopathe tueur en série. Ce dernier impose à son « protégé » de tuer de ses mains un homme, en échange de sa propre vie. La victime sacrificielle est en fait un voyageur dans le temps et Riley va se retrouver projeté à notre époque, où il fera la connaissance de Chevie, un agent « junior » du F.B.I. Je vous laisse imaginer les aventures que cette situation va engendrer, d’autant que Garrick, le psychopathe, ne va pas vouloir en rester là.
Excellent. Il n’y a rien de plus à dire, tout est bon dans ce livre, dont le public visé, je le rappelle, est quand même plutôt jeunesse. Les personnages sont attachants bien qu’un peu stéréotypés, mention spéciale à Garrick, le vrai méchant de l’histoire, qui est vraiment antipathique et effrayant. L’intrigue est menée tambour battant, alternant épisodes dans le passé et le présent, pas de temps mort et l’ensemble reste cohérent, ce qui n’est pas toujours le cas avec les histoires de ce type. L’écriture d’Eoin Colfer est nerveuse et fluide, emportant le lecteur dans cette folle course qu’est L’assassin malgré lui. Mon seul regret est qu’Eoin Colfer n’écrive que des romans jeunesse, je suis sûre qu’il ferait merveille dans un registre plus adulte.
Une hallucinante course-poursuite dans le temps s’engage, Riley et Chevie Savano tentant d’échapper au plus redoutable des meurtriers, Albert Garrick, mais aussi de l’empêcher de retourner dans son époque, investi d’un pouvoir qui pourrait à jamais changer le monde.
L'avis de Chani
Le livre s’ouvre sur Riley, un gosse des rues du XIXème siècle, apprenti malgré lui d’un psychopathe tueur en série. Ce dernier impose à son « protégé » de tuer de ses mains un homme, en échange de sa propre vie. La victime sacrificielle est en fait un voyageur dans le temps et Riley va se retrouver projeté à notre époque, où il fera la connaissance de Chevie, un agent « junior » du F.B.I. Je vous laisse imaginer les aventures que cette situation va engendrer, d’autant que Garrick, le psychopathe, ne va pas vouloir en rester là.
Excellent. Il n’y a rien de plus à dire, tout est bon dans ce livre, dont le public visé, je le rappelle, est quand même plutôt jeunesse. Les personnages sont attachants bien qu’un peu stéréotypés, mention spéciale à Garrick, le vrai méchant de l’histoire, qui est vraiment antipathique et effrayant. L’intrigue est menée tambour battant, alternant épisodes dans le passé et le présent, pas de temps mort et l’ensemble reste cohérent, ce qui n’est pas toujours le cas avec les histoires de ce type. L’écriture d’Eoin Colfer est nerveuse et fluide, emportant le lecteur dans cette folle course qu’est L’assassin malgré lui. Mon seul regret est qu’Eoin Colfer n’écrive que des romans jeunesse, je suis sûre qu’il ferait merveille dans un registre plus adulte.
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