KGI
Tome 7 : Sous contrôle
de Maya Banks
Éditions Milady
Collection Suspense
Sortie le 25 septembre 2015
Format Poche / 528 pages / 7,90 €
Présentation de l'éditeur :
Steele, chef d'équipe au KGI, est une énigme vivante. Il ne laisse jamais ses émotions prendre le dessus, et on le surnomme « l'homme de glace ». Seule Maren Scofield attise en lui une véritable flamme. Décidé à se débarrasser de ce désir qui le perturbe, Steele propose à Maren une nuit ensemble. Va-t-elle effacer son obsession ou déchaîner en lui la passion ? Mais, quand le danger rattrape les membres du KGI, Maren se retrouve au coeur de la bataille. Steele affrontera l'enfer pour se précipiter à son secours. Car il ne laissera personne la sauver à sa place.
Avis de Jm-les-livres :
Après l'histoire de Cole et R.J., Maya Banks dévoile une partie du mystère entourant leur chef d'équipe, le taciturne et quasi muet Steele. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le bonhomme a l'occasion de se rattraper question longues déclarations. En effet, alors qu'il a à peine lâché dix mots depuis le début de la série, la présence du docteur Scofield semble lui avoir délié la langue.
Après sept tomes dans l'univers musclé et masculin des KGI, il devient difficile d'innover au niveau de l'intrigue ou des romances développées par l'auteur. Toujours le même type de mâle alpha à tendance monosyllabique et quasi insensible à ce qui l'entoure (et à la douleur), qui se transforme en présence de LA femme de sa vie en guimauve désespérante et qui va tout faire pour sauver l'héroïne des griffes du gros méchant. En n'oubliant pas de culpabiliser pour ne pas l'avoir suffisamment bien protégée de tous les dangers du monde. Ce livre ne déroge pas à la règle et il finit, fatalement, par lasser. Tout semble trop simple et prévisible au possible. Le seul moment un peu palpitant arrive avec la dernière scène d'action, mais elle ne suffit pas pour échapper à l'ennui. Le personnage de Steele est décevant et beaucoup trop bavard finalement (on le préférait presque quand il était muet). Son côté homme des cavernes est plus pénible que mignon. Les passages avec Maren, quand monsieur ne déverse pas tout son amour guimauvesque sur nous, sont parfois touchants et parfois bien torrides. Peut-être un peu trop présents pour le bien de l'histoire, ce qui ne permet pas de placer du suspense ou de l'action pour dynamiser le récit. Quant à Maren (que j'ai appelé Maureen tout au long de ma lecture, parce que Maren, ce n'est pas possible), elle change d'avis en quelques lignes et tout cela semble normal. Elle met constamment en doute les sentiments de Steele à son égard, mais déclare ensuite qu'elle l'aime profondément et qu'elle est prête à rester avec lui, même si son amour n'est pas partagé. Avant de changer d'avis la ligne suivante en se disant trop indépendante pour accepter cette situation. C'est épuisant.
Au final, c'est à se demander si ce septième tome n'est pas le tome de trop. Il ressemble un peu trop au précédent et n'arrive pas à garder l'intérêt du lecteur qui s'ennuie ferme devant les deux héros. Il est peut-être temps de passer à un autre style de lecture.
Après sept tomes dans l'univers musclé et masculin des KGI, il devient difficile d'innover au niveau de l'intrigue ou des romances développées par l'auteur. Toujours le même type de mâle alpha à tendance monosyllabique et quasi insensible à ce qui l'entoure (et à la douleur), qui se transforme en présence de LA femme de sa vie en guimauve désespérante et qui va tout faire pour sauver l'héroïne des griffes du gros méchant. En n'oubliant pas de culpabiliser pour ne pas l'avoir suffisamment bien protégée de tous les dangers du monde. Ce livre ne déroge pas à la règle et il finit, fatalement, par lasser. Tout semble trop simple et prévisible au possible. Le seul moment un peu palpitant arrive avec la dernière scène d'action, mais elle ne suffit pas pour échapper à l'ennui. Le personnage de Steele est décevant et beaucoup trop bavard finalement (on le préférait presque quand il était muet). Son côté homme des cavernes est plus pénible que mignon. Les passages avec Maren, quand monsieur ne déverse pas tout son amour guimauvesque sur nous, sont parfois touchants et parfois bien torrides. Peut-être un peu trop présents pour le bien de l'histoire, ce qui ne permet pas de placer du suspense ou de l'action pour dynamiser le récit. Quant à Maren (que j'ai appelé Maureen tout au long de ma lecture, parce que Maren, ce n'est pas possible), elle change d'avis en quelques lignes et tout cela semble normal. Elle met constamment en doute les sentiments de Steele à son égard, mais déclare ensuite qu'elle l'aime profondément et qu'elle est prête à rester avec lui, même si son amour n'est pas partagé. Avant de changer d'avis la ligne suivante en se disant trop indépendante pour accepter cette situation. C'est épuisant.
Au final, c'est à se demander si ce septième tome n'est pas le tome de trop. Il ressemble un peu trop au précédent et n'arrive pas à garder l'intérêt du lecteur qui s'ennuie ferme devant les deux héros. Il est peut-être temps de passer à un autre style de lecture.
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