Dublin Street,
Tome 5 : Scotland Street
de Samantha Young
Éditions J'ai lu
Sortie le 12 juillet 2017
Format broché / 384 pages / 14 €
Présentation de l'éditeur :
Shannon MacLeod s’est toujours entichée de bad boys. Jusqu’à ce que son dernier petit ami lui fasse vivre un calvaire, faisant voler ses repères en éclats. Déterminée à faire table rase du passé, elle s’installe à Édimbourg et décroche un job dans le studio de tatouage le plus couru de la ville. Mais voilà, le gérant n’est autre que le diable en personne. Ténébreux, séduisant, sûr de lui, Cole Walker incarne tout ce que Shannon fuit. Hors de question donc, de céder à ses avances. Pourtant, sous ses airs de méchant, Cole est un type bien. Carrément irrésistible même…
Avis de Jm-Les-Livres :
Quel bonheur de retrouver tous les personnages de Samantha Young. C'est au tour du jeune frère de Jo, l'héroïne du tome 2, d'être à l'honneur. Cole a bien grandi, il est devenu propriétaire d'un salon de tatouage et vit de son art. Dans cette nouvelle romance, il croise Shannon qu'il avait rencontrée furtivement dans le livre sur sa sœur et c'est encore une fois un coup de foudre pour Cole. Du côté de Shannon, l'attirance est bien présente mais les épreuves qu'elle a traversées la rendent méfiante envers les hommes. Leur histoire ne sera donc pas de tout repos.
Cole est une crème. On se demande où Samantha Young trouve son inspiration pour ses personnages masculins (et surtout l'adresse où on peut les rencontrer, merci). L'histoire en elle-même n'a rien d'original, avec son héroïne torturée, mais, encore une fois, la plume de l'auteur fait tout le travail et c'est un vrai plaisir de la lire. En plus, nous avons l'occasion de retrouver l'entourage de Cole, ces couples que nous avons adorés découvrir dans les tomes précédents. C'est dur de se dire que les personnages approchent dorénavant de la quarantaine, même s'ils ont toujours ce petit grain de folie qui nous a tant plus. Au final, ce nouveau livre dans l'univers d'Édimbourg séduit totalement. On le referme avec l'impression d'avoir revu d'anciens amis et de s'en être fait de nouveaux. Que du bonheur.
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