Incarceron,
Tome 2 : Le cygne noir
de Catherine Fisher
Editions Pocket Jeunesse
Sortie le 21 octobre 2010
Format semi-poche / 13,50€
Présentation de l'éditeur
Finn et Claudia sont tous les deux à l'Extérieur. Leur relation est orageuse. Finn ne se pardonne pas d'avoir laissé Attia et Keiro dans la prison, et Claudia est déçue de voir Finn se morfondre. Quoi qu'il en soit, les voilà obligés de reprendre la fuite ensemble : la reine qui prétendait accepter Finn comme héritier, leur a tendu un piège… Pendant ce temps, dans la Prison, Attia fait la connaissance du mage Rix qui possède un précieux gant de Sapphique. Malheureusement, elle et Keiro ne sont pas les seuls à le convoiter pour passer à l'Extérieur. Le directeur a eu la même idée et surtout, la Prison elle-même a décidé de se fabriquer un corps et de voler le gant afin de s'échapper de sa propre enceinte. Si elle y parvient, les prisonniers ne seront plus seulement livrés à l'horreur et au chaos… ils mourront tous.
Avis de Kamana
Troublant au point de ne pas trouver le sommeil, enfermés avec nos héros dans ce monde étrange mi-organique mi-électrique… Du repos ? Que lorsque nous saurons la fin !
Incarceron est toujours là, épiant de ses yeux rouges chaque prisonnier, tourmentant ses ennemis et échafaudant un plan machiavélique où le sort de l’humanité va se jouer…
Toutes les vérités, tous les doutes que nous avions, toutes les questions que nous nous posions auront leurs réponses dans ce tome. Tout deviendra clair, limpide et cet étrange monde nous paraîtra plus proche du nôtre que nous n’aurions pu l’imaginer.
A l’extérieur, nous retrouvons Finn – le prince Gilles soit disant mort - l’évadé qui doit devenir roi, Claudia la fille du directeur plus troublée, plus incertaine mais aussi plus dure et enfin Jared, maître Sapienti qui sera le ciment du groupe défensif. Ceux-ci luttent pour le trône qui revient de droit à Gilles. Mais leur quête est aussi de nature plus profonde : abolir le Protocole et laisser enfin le temps reprendre ses droits sur la vie.
A l’intérieur, nous suivrons Attia, la jeune esclave sauvée par Finn, Keiro son frère d’armes, mais également le Directeur et Rix, un magicien gardien du gant de Saphique. Incarceron sera de la partie, plus présente, plus odieuse et plus assoiffée de liberté que jamais, son but étant de trouver ce gant par tous les moyens.
C’est une lutte de chaque instant que vont livrer nos amis qu’ils soient dans ou en dehors d’Incarceron. Pour préserver le trône de la Reine et rester figés dans l’Époque, les ennemis vont user de tous les stratagèmes. Finn devra prendre sur lui, forger son caractère et accepter les doutes suscités dans les deux camps quant à sa véritable identité.
De leurs côtés Attia et Keiro ne seront pas en reste et c’est leur vie qui sera en jeu à chaque pas. L’animosité est toujours présente entre eux et malgré leur but commun les tensions vont s’accumuler, leurs divergences s’accentuer. Que vont-ils devenir ? Amis ou ennemis ? Et le Directeur, quel rôle joue-t-il exactement ?
Les personnages vont être plus approfondis, les méchants très présents et partout. Chaque être de l’Intérieur ou de l’Extérieur semble être un ennemi de Finn et de ses projets, devenir le futur roi. Les gentils sont ambigus nous laissant dans l’expectative quant à leur loyauté. Le doute est omniprésent, et les certitudes fragiles car rien n’est sûr, rien n’est acquis. Et comme pour le premier tome la question se doit d’être posée : qui est réellement enfermé ? Jusqu’où vont les limites de la prison ? Pour le savoir faudra lire ce bijou.
Catherine Fisher nous a mis sous tension durant cinq cents pages. Son talent est présent à chaque ligne, chaque étape mais surtout dans chaque personnage. La trame est parfaite, passant d’un monde à l’autre, d’un groupe à l’autre. Le récit ne s’essouffle pas bien au contraire, à chaque fin de chapitre nous ne pouvons fermer le livre sans en savoir plus. Pas de répit sans le mot de la fin, voilà qui met nos nerfs à rude épreuve.
Un roman ambitieux et superbement bien narré. Riche en personnalités, en décors, l’imagination de l’auteure nous transporte dans chaque recoin sombre et lugubre d’Incarceron mais aussi dans la flamboyance et la richesse du palais royal. Nous nous y croirions !
Amateur de fantasy Incarceron vous attend.
A l’extérieur, nous retrouvons Finn – le prince Gilles soit disant mort - l’évadé qui doit devenir roi, Claudia la fille du directeur plus troublée, plus incertaine mais aussi plus dure et enfin Jared, maître Sapienti qui sera le ciment du groupe défensif. Ceux-ci luttent pour le trône qui revient de droit à Gilles. Mais leur quête est aussi de nature plus profonde : abolir le Protocole et laisser enfin le temps reprendre ses droits sur la vie.
A l’intérieur, nous suivrons Attia, la jeune esclave sauvée par Finn, Keiro son frère d’armes, mais également le Directeur et Rix, un magicien gardien du gant de Saphique. Incarceron sera de la partie, plus présente, plus odieuse et plus assoiffée de liberté que jamais, son but étant de trouver ce gant par tous les moyens.
C’est une lutte de chaque instant que vont livrer nos amis qu’ils soient dans ou en dehors d’Incarceron. Pour préserver le trône de la Reine et rester figés dans l’Époque, les ennemis vont user de tous les stratagèmes. Finn devra prendre sur lui, forger son caractère et accepter les doutes suscités dans les deux camps quant à sa véritable identité.
De leurs côtés Attia et Keiro ne seront pas en reste et c’est leur vie qui sera en jeu à chaque pas. L’animosité est toujours présente entre eux et malgré leur but commun les tensions vont s’accumuler, leurs divergences s’accentuer. Que vont-ils devenir ? Amis ou ennemis ? Et le Directeur, quel rôle joue-t-il exactement ?
Les personnages vont être plus approfondis, les méchants très présents et partout. Chaque être de l’Intérieur ou de l’Extérieur semble être un ennemi de Finn et de ses projets, devenir le futur roi. Les gentils sont ambigus nous laissant dans l’expectative quant à leur loyauté. Le doute est omniprésent, et les certitudes fragiles car rien n’est sûr, rien n’est acquis. Et comme pour le premier tome la question se doit d’être posée : qui est réellement enfermé ? Jusqu’où vont les limites de la prison ? Pour le savoir faudra lire ce bijou.
Catherine Fisher nous a mis sous tension durant cinq cents pages. Son talent est présent à chaque ligne, chaque étape mais surtout dans chaque personnage. La trame est parfaite, passant d’un monde à l’autre, d’un groupe à l’autre. Le récit ne s’essouffle pas bien au contraire, à chaque fin de chapitre nous ne pouvons fermer le livre sans en savoir plus. Pas de répit sans le mot de la fin, voilà qui met nos nerfs à rude épreuve.
Un roman ambitieux et superbement bien narré. Riche en personnalités, en décors, l’imagination de l’auteure nous transporte dans chaque recoin sombre et lugubre d’Incarceron mais aussi dans la flamboyance et la richesse du palais royal. Nous nous y croirions !
Amateur de fantasy Incarceron vous attend.
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