de Sharon Kena
Éditions Sharon Kena
Poche / Pages 300
Prix 12,51€
Prix Numérique 6,50€
Poche / Pages 300
Prix 12,51€
Prix Numérique 6,50€
Présentation de l'éditeur :
En posant son regard sur Kraler, Angel était loin de se douter que sa vie allait basculer du tout au tout. Imposant, fort, musclé et terriblement sexy, sous ses airs menaçants, il a pris possession de son cœur sans préavis. Fine, belle à l’odeur florale épicée, elle a su briser sa carapace et le rendre dépendant. Mais comment leur relation pourrait-elle avoir la moindre chance ? Déjà si fragile, elle devient impossible lorsque le vampire perd le contrôle pour une seule raison : il veut se rapprocher d’elle selon les coutumes de sa race.
L'avis de Lila :
C'est l'histoire d'Angel. Elle est incroyablement belle Angel, mais elle est un peu simplette. Elle a une meilleure amie Angel. Son amie, Camilla, aussi est incroyablement belle. Son amie aussi est un peu simplette. Quand les deux sortent ensemble en boîte de nuit, ça ressemble rapidement à un clip bien gras de rappeur américain, avec prostiputes en trikini et gros misogynes qui leur apprennent la vie dans les wc. Angel voit un monsieur (120 kilos de muscles et 2 mètres de haut, difficile à rater) et tombe amoureuse. Oui, comme ça, juste en l'ayant vu de loin (je vous ai dit qu'elle était un peu simplette Angel ?). Le monsieur c'est Kraler. Il est incroyablement beau Kraler, mais il a des problèmes comportementaux. Comme tous les hommes de ce roman, il croit que (attention, je cite, éloignez les enfants) "salope", "pétasse" et "chienne en chaleur" sont des synonymes de "femme". D'ailleurs, on ne parle pas de "femmes" dans ce roman, non, on parle de "femelles". Autant dire que si ce roman avait été écrit par un homme, les Chiennes de garde et autres féministes lui auraient déjà collé un procès.
Bref, Kraler croise Angel, l'insulte de tous les noms, et comme Angel a probablement eu une enfance difficile, elle trouve ça trop génial. Comment résister à un bel inconnu qui vous appelle affectueusement "chienne en chaleur" et "salope" ? Et comme on est au royaume du bon goût, plus tard, Kraler coince Angel dans les toilettes et la prend sur le lavabo, sans lui demander son avis, ni même se protéger. La grande classe ! Je ne sais pas si l'héroïne est nymphomane, mais elle trouve ça tout à fait normal, elle est même très contente. D'ailleurs, c'est LUI, elle l'aime pour la vie, ayé ! (je vous ai dit qu'elle était un peu simplette la Angel ? ). Ne croyez pas que je vous spoile le roman, non, non, tout ça se passe dans les 5 premières pages seulement. Plus tard dans le livre, ils se croisent à nouveau, il l'insulte une fois de plus de mots bien dégradants et humiliants, puis exige une fellation. Comment réagit notre héroïne ? Hé bien, elle se dit qu'effectivement, il est tout stressé le Kralerounet et qu'il aurait bien besoin d'une petite gâterie pour se détendre, allez hop ma fille, au boulot ! Elle est gentille Angel, puis à sa décharge, elle a été montée sans les options "estime de soi" et "cerveau", donc on ne lui en veut pas vraiment au final.
On a tendance à dire qu'il est plus facile de chroniquer un livre que l'on a détesté. C'est généralement vrai. Mais quand il s'agit d'un Sharon Kena, ça se complique. Pourquoi ? Parce que trouver les mots qui sauraient décrire avec pertinence les émotions ressenties pendant la lecture est presque impossible. Il faut avoir lu un Sharon Kena pour comprendre ce qui va suivre. Les autres seront tentés, et je le conçois, de penser que j'en rajoute. Hé bien non, même pas.
C'est l'histoire d'Angel. Elle est incroyablement belle Angel, mais elle est un peu simplette. Elle a une meilleure amie Angel. Son amie, Camilla, aussi est incroyablement belle. Son amie aussi est un peu simplette. Quand les deux sortent ensemble en boîte de nuit, ça ressemble rapidement à un clip bien gras de rappeur américain, avec prostiputes en trikini et gros misogynes qui leur apprennent la vie dans les wc. Angel voit un monsieur (120 kilos de muscles et 2 mètres de haut, difficile à rater) et tombe amoureuse. Oui, comme ça, juste en l'ayant vu de loin (je vous ai dit qu'elle était un peu simplette Angel ?). Le monsieur c'est Kraler. Il est incroyablement beau Kraler, mais il a des problèmes comportementaux. Comme tous les hommes de ce roman, il croit que (attention, je cite, éloignez les enfants) "salope", "pétasse" et "chienne en chaleur" sont des synonymes de "femme". D'ailleurs, on ne parle pas de "femmes" dans ce roman, non, on parle de "femelles". Autant dire que si ce roman avait été écrit par un homme, les Chiennes de garde et autres féministes lui auraient déjà collé un procès.
Bref, Kraler croise Angel, l'insulte de tous les noms, et comme Angel a probablement eu une enfance difficile, elle trouve ça trop génial. Comment résister à un bel inconnu qui vous appelle affectueusement "chienne en chaleur" et "salope" ? Et comme on est au royaume du bon goût, plus tard, Kraler coince Angel dans les toilettes et la prend sur le lavabo, sans lui demander son avis, ni même se protéger. La grande classe ! Je ne sais pas si l'héroïne est nymphomane, mais elle trouve ça tout à fait normal, elle est même très contente. D'ailleurs, c'est LUI, elle l'aime pour la vie, ayé ! (je vous ai dit qu'elle était un peu simplette la Angel ? ). Ne croyez pas que je vous spoile le roman, non, non, tout ça se passe dans les 5 premières pages seulement. Plus tard dans le livre, ils se croisent à nouveau, il l'insulte une fois de plus de mots bien dégradants et humiliants, puis exige une fellation. Comment réagit notre héroïne ? Hé bien, elle se dit qu'effectivement, il est tout stressé le Kralerounet et qu'il aurait bien besoin d'une petite gâterie pour se détendre, allez hop ma fille, au boulot ! Elle est gentille Angel, puis à sa décharge, elle a été montée sans les options "estime de soi" et "cerveau", donc on ne lui en veut pas vraiment au final.
On a tendance à dire qu'il est plus facile de chroniquer un livre que l'on a détesté. C'est généralement vrai. Mais quand il s'agit d'un Sharon Kena, ça se complique. Pourquoi ? Parce que trouver les mots qui sauraient décrire avec pertinence les émotions ressenties pendant la lecture est presque impossible. Il faut avoir lu un Sharon Kena pour comprendre ce qui va suivre. Les autres seront tentés, et je le conçois, de penser que j'en rajoute. Hé bien non, même pas.
Les guerriers de l'ombre est le second roman de Sharon Kena que je lis. Après Jane Hunter, je pensais avoir vu ce qui pouvait se faire de pire en matière de littérature. Je viens pourtant de passer un nouveau cap. Je vous épargne le résumé, c'est un plagiat pure et simple de La confrérie de la dague noire, la vulgarité en plus. Ici, Kohler s'appelle Kraler, sa shellane est une shélina, les éradiqueurs sont des exterminateurs, les guerriers sont des attardés vulgaires, puants et dégoûtants et leurs femmes, des "chiennes en chaleur". C'est beau, c'est classe, je suis conquise !
Je ne sais pas comment rendre compte aux gens de ce que j'ai subi pendant la lecture... Je me sens violée, salie, dégradée. J'en suis arrivée à me demander ce qui avait pu arriver d'aussi moche à l'auteure pour nous imposer ça, pour avoir une telle vision du monde, de l'amour, de la sexualité. Les femmes ne sont que des "femelles", des "chiennes en chaleur" et des "salopes", les hommes, eux, sont des abrutis misogynes qui se congratulent à chaque "pétasse" levée, qui ne vivent que pour "tirer" et jouer à la guerre. Ce roman est une insulte pour les femmes, mais également pour les hommes. L'image donnée de la sexualité m'en a dégoutée pour quelques jours au moins (mon chéri, si tu me lis, désolée) et je ne vous parle même pas du seul homosexuel du roman qui est un malade mental pervers et répugnant.
À vomir. On assiste à des scènes d'un glauque jamais vu dans ce type de littérature, moi qui suis vraiment très ouverte d'esprit, j'étais véritablement mal à l'aise, écœurée, dérangée.
Les personnages n'ont aucune psychologie. Angel est d'une stupidité effarante, elle ne fait que se plaindre, pleurer et obéir à son mâle. Sa copine est une nymphomane attardée qui tombe amoureuse "irrévocablement" d'un nouveau mec tous les jours, les membres de la Confrérie sont des êtres abjectes qui placent les mots "queue", "pipe" et "salope" dans toutes leurs répliques et l'histoire ferait passer la biographie de Loana pour un chef d’œuvre littéraire.
Ça c'est pour le fond ! La forme maintenant. Pitié Sharon, si tu me lis, revend ton dictionnaire des synonymes et paie toi un correcteur d’orthographe à la place. Une faute à chaque mot ou presque et on retrouve une fois de plus ces énormes lacunes en vocabulaire. Alors non, "s'estomper" n'est pas un synonyme de "dire" ! La réplique : "je me souviens de tout, s'estompe-t-elle" est une aberration (j'ai pris celle-là au hasard, il y en a plein) ! On ne s'estompe pas ! Et pitié, j'ai bien compris que tu adores les verbes "émettre", "opiner" et mon préféré, "intimer". Mais tu ne peux pas les placer à chaque réplique, il y a un truc génial qui s'appelle "le contexte". De même, tu devrais réviser ton français, "ses/se" et "ces/ce" ne s'emploient pas au pifomètre selon l'humeur, il y a des règles.
Je passerai sous silence les envolées lyriques de l'auteure, quand on n'a pas le vocabulaire qui va bien, forcément, les métaphores et autres figures de style confinent au ridicule.
Petit message à l'attention des personnes ayant donné des avis positifs sur ce roman, voire des critiques carrément élogieuses. Je sais qu'on a envie de se faire bien voir des éditeurs pour recevoir plein de livres gratuits, je sais aussi que dire à un auteur qu'il devrait arrêter ses conneries et se trouver un métier, c'est délicat. Mais rappelez-vous que vos critiques peuvent influencer l'achat d'un livre et que vos lecteurs n'ont pas des portefeuilles magiques qui se remplissent tout seul. Vous devriez avoir honte ! Ce roman est la pire bouse de l'histoire de la littérature (j'offre l'exemplaire à qui veut vérifier), dire qu'il est génial et encourager les gens à l'acheter pour vous faire bien voir, c'est simplement scandaleux ! Je ne décolère pas, c'est pratiquement de l'arnaque !
Sharon Kena devrait vraiment arrêter l'écriture, elle n'est et ne sera jamais capable d'écrire un roman correct. Espérons que son manque total de talent n'entache pas trop la réputation des auteurs qu'elle publie, qui eux sont, pour certains, véritablement talentueux.
Bref, je suis traumatisée, ce roman est sale, les hommes sont sales, les femmes sont sales, le sexe c'est sale. Ne me touchez pas où je hurle !
Je ne sais pas comment rendre compte aux gens de ce que j'ai subi pendant la lecture... Je me sens violée, salie, dégradée. J'en suis arrivée à me demander ce qui avait pu arriver d'aussi moche à l'auteure pour nous imposer ça, pour avoir une telle vision du monde, de l'amour, de la sexualité. Les femmes ne sont que des "femelles", des "chiennes en chaleur" et des "salopes", les hommes, eux, sont des abrutis misogynes qui se congratulent à chaque "pétasse" levée, qui ne vivent que pour "tirer" et jouer à la guerre. Ce roman est une insulte pour les femmes, mais également pour les hommes. L'image donnée de la sexualité m'en a dégoutée pour quelques jours au moins (mon chéri, si tu me lis, désolée) et je ne vous parle même pas du seul homosexuel du roman qui est un malade mental pervers et répugnant.
À vomir. On assiste à des scènes d'un glauque jamais vu dans ce type de littérature, moi qui suis vraiment très ouverte d'esprit, j'étais véritablement mal à l'aise, écœurée, dérangée.
Les personnages n'ont aucune psychologie. Angel est d'une stupidité effarante, elle ne fait que se plaindre, pleurer et obéir à son mâle. Sa copine est une nymphomane attardée qui tombe amoureuse "irrévocablement" d'un nouveau mec tous les jours, les membres de la Confrérie sont des êtres abjectes qui placent les mots "queue", "pipe" et "salope" dans toutes leurs répliques et l'histoire ferait passer la biographie de Loana pour un chef d’œuvre littéraire.
Ça c'est pour le fond ! La forme maintenant. Pitié Sharon, si tu me lis, revend ton dictionnaire des synonymes et paie toi un correcteur d’orthographe à la place. Une faute à chaque mot ou presque et on retrouve une fois de plus ces énormes lacunes en vocabulaire. Alors non, "s'estomper" n'est pas un synonyme de "dire" ! La réplique : "je me souviens de tout, s'estompe-t-elle" est une aberration (j'ai pris celle-là au hasard, il y en a plein) ! On ne s'estompe pas ! Et pitié, j'ai bien compris que tu adores les verbes "émettre", "opiner" et mon préféré, "intimer". Mais tu ne peux pas les placer à chaque réplique, il y a un truc génial qui s'appelle "le contexte". De même, tu devrais réviser ton français, "ses/se" et "ces/ce" ne s'emploient pas au pifomètre selon l'humeur, il y a des règles.
Je passerai sous silence les envolées lyriques de l'auteure, quand on n'a pas le vocabulaire qui va bien, forcément, les métaphores et autres figures de style confinent au ridicule.
Petit message à l'attention des personnes ayant donné des avis positifs sur ce roman, voire des critiques carrément élogieuses. Je sais qu'on a envie de se faire bien voir des éditeurs pour recevoir plein de livres gratuits, je sais aussi que dire à un auteur qu'il devrait arrêter ses conneries et se trouver un métier, c'est délicat. Mais rappelez-vous que vos critiques peuvent influencer l'achat d'un livre et que vos lecteurs n'ont pas des portefeuilles magiques qui se remplissent tout seul. Vous devriez avoir honte ! Ce roman est la pire bouse de l'histoire de la littérature (j'offre l'exemplaire à qui veut vérifier), dire qu'il est génial et encourager les gens à l'acheter pour vous faire bien voir, c'est simplement scandaleux ! Je ne décolère pas, c'est pratiquement de l'arnaque !
Sharon Kena devrait vraiment arrêter l'écriture, elle n'est et ne sera jamais capable d'écrire un roman correct. Espérons que son manque total de talent n'entache pas trop la réputation des auteurs qu'elle publie, qui eux sont, pour certains, véritablement talentueux.
Bref, je suis traumatisée, ce roman est sale, les hommes sont sales, les femmes sont sales, le sexe c'est sale. Ne me touchez pas où je hurle !
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