Les Bevelstoke,
Tome 3 : Ce que j'aime chez vous
de Julia Quinn

Éditions J'ai lu

Sortie le 5 juin 2019
Format poche / 384 pages / 7,60 €

En pleine saison londonienne, Annabel Winslow est horrifiée d’apprendre que lord Newbury s’apprête à demander sa main. Il est si vieux ! Mais comment peut-elle refuser d’épouser un comte alors qu’elle doit assurer l’avenir de ses sept frères et sœurs ?
La situation devient encore plus embarrassante lorsqu’elle fait la connaissance du charmant Sebastian Grey, qui s’éprend d’elle et qui n’est autre que le neveu de Newbury. Les deux hommes se détestaient déjà, maintenant c’est la guerre ! Prise entre ses obligations et les élans de son cœur, Annabel va devoir livrer une rude bataille sur la route du bonheur.

Troisième tome tant attendu de la série des Bevelstoke, Ce que j’aime chez vous est pour moi l’un des meilleurs livres de l’autrice. Les personnages, principaux comme secondaires, sont attachants et j’ai pris plaisir à suivre leurs péripéties.

Ce livre est drôle, avec des dialogues très bien écrits et tout en finesse et des situations cocasses qui m’ont fait beaucoup rire. C’est ce que j’aime en lisant un livre de Julia Quinn et qui me pousse toujours à découvrir ses histoires, malgré ma déception par rapport à certains titres.

L’histoire d’amour est très mignonne et se développe doucement au fil des échanges hilarants entre Sebastian et Annabel. Leur entourage est très amusant aussi. On retrouve la cousine de Sebastian, Olivia, héroïne du tome 2 Mademoiselle la curieuse, qui n’a pas sa langue dans sa poche non plus et qui est prête à donner un coup de main à son cousin. L’entourage d’Annabel n’est pas en reste puisqu’elle a, elle aussi, une cousine pour lui venir en aide et pour l’aider à supporter sa situation. J’ai bien aimé aussi la grand-mère d’Annabel qui nous offre l’une des scènes de romance historique la plus drôle et folle que j’ai lue.

Un troisième tome qui valait la peine d’attendre. Je suis même un peu triste que cette série s’arrête là car certains personnages secondaires auraient mérité d’avoir leur propre histoire. Je me consolerai en relisant tous les livres de temps en temps.