Voici la sélection de l'équipe RCS - Bit-lit.com pour les sorties des éditions Harper Collins pour le mois d'août.
Bons achats et bonne lecture !
Africville
de Jeffrey Colvin
Éditions HarperCollins
Sortie le 26 août 2020
Format broché / 384 pages / 20 €
Présentation de l'éditeur :
La dislocation
de Louise Browaeys
Éditions HarperCollins
Sortie le 26 août 2020
Format broché / 320 pages / 17 €
Présentation de l'éditeur :
Jolis jolis monstres
de Julien Dufresne-Lamy
Éditions HarperCollins
Réédition le 19 août 2020
Format poche / 336 pages / 7,90 €
Présentation de l'éditeur :
Africville
de Jeffrey Colvin
Éditions HarperCollins
Sortie le 26 août 2020
Format broché / 384 pages / 20 €
Présentation de l'éditeur :
Années 1930.
Kath Ella refuse de suivre son destin tout tracé de fille de couleur et quitte Africville, un quartier fondé par d’anciens esclaves en Nouvelle-Écosse, au Canada. Après une histoire d’amour marquée par le deuil, elle donnera naissance à un fils, Omar, qui sera rebaptisé Étienne.
Années 1960.
Étienne, dont la pâleur lui permet de passer pour un Blanc,vit en Alabama. Il est déchiré entre ses racines noires et la peur de perdre la vie qu’il est en train de construire.
Années 1980.
À la mort de son père, Warner se lance dans une quête de ses origines, qui le mènera dans ce qui reste d’Africville mais aussi dans une prison d’État au fin fond du Mississippi.
Trois destins, trois personnages aux prises avec la réalité sociale de leur époque et les aléas de la vie. Pas de pathos ni de velléité moralisatrice. Les héros de ce roman sont des êtres vrais, de chair et de sang. En toile de fond, Africville, à la fois aimant et repoussoir, dont l’empreinte se transmet de génération en génération.
Avec ce premier roman triptyque vibrant, fruit de plus de vingt ans de recherches, Jeffrey Colvin s’impose comme une nouvelle voix de la littérature américaine, dans le sillage de Colson Whitehead et de Ayana Mathis.
Kath Ella refuse de suivre son destin tout tracé de fille de couleur et quitte Africville, un quartier fondé par d’anciens esclaves en Nouvelle-Écosse, au Canada. Après une histoire d’amour marquée par le deuil, elle donnera naissance à un fils, Omar, qui sera rebaptisé Étienne.
Années 1960.
Étienne, dont la pâleur lui permet de passer pour un Blanc,vit en Alabama. Il est déchiré entre ses racines noires et la peur de perdre la vie qu’il est en train de construire.
Années 1980.
À la mort de son père, Warner se lance dans une quête de ses origines, qui le mènera dans ce qui reste d’Africville mais aussi dans une prison d’État au fin fond du Mississippi.
Trois destins, trois personnages aux prises avec la réalité sociale de leur époque et les aléas de la vie. Pas de pathos ni de velléité moralisatrice. Les héros de ce roman sont des êtres vrais, de chair et de sang. En toile de fond, Africville, à la fois aimant et repoussoir, dont l’empreinte se transmet de génération en génération.
Avec ce premier roman triptyque vibrant, fruit de plus de vingt ans de recherches, Jeffrey Colvin s’impose comme une nouvelle voix de la littérature américaine, dans le sillage de Colson Whitehead et de Ayana Mathis.
La dislocation
de Louise Browaeys
Éditions HarperCollins
Sortie le 26 août 2020
Format broché / 320 pages / 17 €
Présentation de l'éditeur :
Une jeune femme sort de l’hôpital, dépossédée de son identité et de son passé.
Elle voue une haine farouche aux psychiatres, fréquente les magasins de bricolage. Il lui arrive même de crever les pneus des voitures.
Temporairement amnésique, absolument indocile, elle veut repeupler sa mémoire et pour cela, doit enquêter. Un homme va l’y aider, sans rien lui souffler : Camille, dit K, ami et gardien d’un passé interdit.
Le souvenir d’un désert entouré de vitres, une fonction exercée au ministère de l’Agriculture, une bible restée ouverte au chapitre du Déluge forment un faisceau d’indices de sa vie d’avant. Quelques démangeaisons et une irrépressible envie de décortiquer le monde et les êtres qu’elle croise hantent ses jours présents.
Sa rencontre avec Wajdi, envoûtant et révolté, marquera son cœur et son esprit. Ce sera avant de gagner la Bretagne et, peut-être, de parvenir à combler les énigmes de son histoire prise au piège de l’oubli.
La trajectoire d’une femme cousue à celle de la planète, c’est le pari de ce premier roman en forme de fable écoféministe où la tragédie contemporaine côtoie l’espoir le plus fou.
Hypnotique, drolatique, libre et profondément humain.
Elle voue une haine farouche aux psychiatres, fréquente les magasins de bricolage. Il lui arrive même de crever les pneus des voitures.
Temporairement amnésique, absolument indocile, elle veut repeupler sa mémoire et pour cela, doit enquêter. Un homme va l’y aider, sans rien lui souffler : Camille, dit K, ami et gardien d’un passé interdit.
Le souvenir d’un désert entouré de vitres, une fonction exercée au ministère de l’Agriculture, une bible restée ouverte au chapitre du Déluge forment un faisceau d’indices de sa vie d’avant. Quelques démangeaisons et une irrépressible envie de décortiquer le monde et les êtres qu’elle croise hantent ses jours présents.
Sa rencontre avec Wajdi, envoûtant et révolté, marquera son cœur et son esprit. Ce sera avant de gagner la Bretagne et, peut-être, de parvenir à combler les énigmes de son histoire prise au piège de l’oubli.
La trajectoire d’une femme cousue à celle de la planète, c’est le pari de ce premier roman en forme de fable écoféministe où la tragédie contemporaine côtoie l’espoir le plus fou.
Hypnotique, drolatique, libre et profondément humain.
Jolis jolis monstres
de Julien Dufresne-Lamy
Éditions HarperCollins
Réédition le 19 août 2020
Format poche / 336 pages / 7,90 €
Présentation de l'éditeur :
« Je m’appelle James et je suis exquise... »
Certains disent qu’on est des monstres, des fous à électrocuter. Nous sommes des centaures, des licornes, des chimères à tête de femme. Les plus jolis monstres du monde.
Au début des années sida, James est l’une des plus belles drag-queens de New York. La légende des bals, la reine des cabarets, l’amie fidèle des club kids et des stars underground. Quand, trente ans plus tard, il devient le mentor de Victor, un jeune père de famille à l’humour corrosif, James comprend que le monde et les mentalités ont changé.
Au cœur d’une Amérique toujours plus fermée et idéologique, ce roman tendre mais bruyant est une ode à la beauté, à la fête et à la différence. Une prise de parole essentielle.
Certains disent qu’on est des monstres, des fous à électrocuter. Nous sommes des centaures, des licornes, des chimères à tête de femme. Les plus jolis monstres du monde.
Au début des années sida, James est l’une des plus belles drag-queens de New York. La légende des bals, la reine des cabarets, l’amie fidèle des club kids et des stars underground. Quand, trente ans plus tard, il devient le mentor de Victor, un jeune père de famille à l’humour corrosif, James comprend que le monde et les mentalités ont changé.
Au cœur d’une Amérique toujours plus fermée et idéologique, ce roman tendre mais bruyant est une ode à la beauté, à la fête et à la différence. Une prise de parole essentielle.
Les Parisiennes,
Tome 1 : L'homme idéal (en mieux)
de Angéla Morelli
Éditions HarperCollins
Réédition le 5 août 2020
Format poche / 320 pages / 6,90 €
Présentation de l'éditeur :
Un joyeux bordel… Voilà à quoi ressemble la vie d’Emilie, 35 ans, mère célibataire, qui se retrouve à devoir squatter chez Clara, sa meilleure amie, en attendant des jours plus favorables. Cela dit, si elle n’avait pas emménagé chez Clara, jamais elle ne serait retombée sur Samuel Winterfeld, un homme qu’elle avait perdu de vue depuis longtemps, et qui allie deux qualités irrésistibles : être le sosie de Bradley Cooper, et avoir très envie de la revoir ! videmment, c’est pile le moment que choisit son ex, le père de sa fille, pour retenter sa chance avec elle. De quoi la mettre définitivement sens dessus dessous !
Les Parisiennes,
Tome 2 : La rencontre idéale (ou presque)
de Angéla Morelli
Éditions HarperCollins
Réédition le 5 août 2020
Format poche / 304 pages / 6,90 €
Présentation de l'éditeur :
Elle pensait être à l’abri de toute tentation… Elle se trompait doublement.
Un séjour détox. Voilà comment Louise envisage ses vacances dans la maison de campagne que lui a prêtée une amie : air pur et nature devraient l’aider à se déconnecter de sa vie parisienne survoltée. Mais, surtout, c’est l’occasion parfaite de débuter sa période sans homme ; au beau milieu de la Picardie, cela ne devrait pas être très compliqué de résister à la tentation. Du moins, c’est ce qu’elle pense avant de rencontrer Joffrey, son voisin apiculteur, et Arnaud, l’artisan chargé des travaux de la grange attenante. Deux hommes radicalement différents, mais qui ont un point commun : le danger qu’ils représentent pour ses bonnes résolutions. Parviendra-t-elle à tenir sa promesse ?
Un séjour détox. Voilà comment Louise envisage ses vacances dans la maison de campagne que lui a prêtée une amie : air pur et nature devraient l’aider à se déconnecter de sa vie parisienne survoltée. Mais, surtout, c’est l’occasion parfaite de débuter sa période sans homme ; au beau milieu de la Picardie, cela ne devrait pas être très compliqué de résister à la tentation. Du moins, c’est ce qu’elle pense avant de rencontrer Joffrey, son voisin apiculteur, et Arnaud, l’artisan chargé des travaux de la grange attenante. Deux hommes radicalement différents, mais qui ont un point commun : le danger qu’ils représentent pour ses bonnes résolutions. Parviendra-t-elle à tenir sa promesse ?
Les Parisiennes,
Tome 3 : Le couple idéal (enfin)
de Angéla Morelli
Éditions HarperCollins
Réédition le 5 août 2020
Format poche / 320 pages / 6,90 €
Présentation de l'éditeur :
Attention : un homme peut en cacher un autre
Un goujat égocentrique ! Voilà comment Clara, libraire, qualifie désormais l’écrivain mondialement célèbre Craig Anderson, qui était son auteur de polars favori. Était, car leurs échanges sur les réseaux sociaux lui ont permis de découvrir une toute nouvelle facette de M. Anderson, laquelle n’est pas très reluisante. Après tout, s’il ne supporte pas les critiques de ses romans, il n’a qu’à pas les lire ! Et, comme si cette désagréable déconvenue ne suffisait pas, ce mois d’août à Paris est aussi désert que caniculaire. Heureusement, un séduisant touriste écossais pousse presque tous les jours la porte de sa librairie La Caverne d’Ali-Baba et multiplie les prétextes pour la croiser par hasard…
Un goujat égocentrique ! Voilà comment Clara, libraire, qualifie désormais l’écrivain mondialement célèbre Craig Anderson, qui était son auteur de polars favori. Était, car leurs échanges sur les réseaux sociaux lui ont permis de découvrir une toute nouvelle facette de M. Anderson, laquelle n’est pas très reluisante. Après tout, s’il ne supporte pas les critiques de ses romans, il n’a qu’à pas les lire ! Et, comme si cette désagréable déconvenue ne suffisait pas, ce mois d’août à Paris est aussi désert que caniculaire. Heureusement, un séduisant touriste écossais pousse presque tous les jours la porte de sa librairie La Caverne d’Ali-Baba et multiplie les prétextes pour la croiser par hasard…
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