Les mauvais garçons
Tome 1 : Par une nuit sans lune
de Sarah MacLean
Éditions J'ai lu
Sortie le 3 juin 2020
Format broché / 384 pages /7,60 €
Présentation de l'éditeur :
Bâtard du duc de Marwick, Devil a connu l'orphelinat et la rue avant de
devenir un richissime caïd des bas-fonds de Londres. Son demi-frère,
Ewan, quoique tout aussi illégitime, a eu plus de chance : il a hérité
du titre. Il avait promis de ne pas perpétuer la lignée, mais il
s'apprête aujourd'hui à renier sa parole en se mariant. Devil n'est pas
homme à pardonner une telle trahison. Il est prêt à tout pour empêcher
ce mariage. Comment ? En séduisant Felicity, la fiancée d'Ewan. Il était
loin d'imaginer que la passion viendrait bousculer son implacable
vengeance...
L'avis d'Elaura :
Une nouvelle saga de Sarah Maclean ne se boude jamais, qu'on se le dise ! Oui, j'aime particulièrement cette autrice, pour sa capacité à nous offrir des dialogues épiques et savoureux et des personnages particulièrement bien fouillés. De plus, elle nous fournit régulièrement un lot de mauvais garçons très appréciés à leur juste valeur. Et oui, cette nouvelle série ne fait pas exception à la règle.
Tout ce que nous aimons est présent : une écriture fluide, des dialogues piquants, de l'humour et du sarcasme, une héroïne assez éloignée des classiques du genre et des vilains garçons, beaux et sensuels, évidemment.
Seul petit bémol ? Allez, peut-être deux ? Oui, il y en a malgré tout. Les bas-fonds de Londres, d'où nos héros masculins sont originaires, sont peut-être un peu trop romantiques et donc éloignés de la réalité. De plus, les atermoiements de notre héros, Devil, traînent un peu en longueur sur le fait qu'il ne mérite pas l'amour de Felicity. Mais passé ce petit agacement, le reste se lit tout seul avec un grand plaisir, et la suite promet également de grands moments.
Tout ce que nous aimons est présent : une écriture fluide, des dialogues piquants, de l'humour et du sarcasme, une héroïne assez éloignée des classiques du genre et des vilains garçons, beaux et sensuels, évidemment.
Seul petit bémol ? Allez, peut-être deux ? Oui, il y en a malgré tout. Les bas-fonds de Londres, d'où nos héros masculins sont originaires, sont peut-être un peu trop romantiques et donc éloignés de la réalité. De plus, les atermoiements de notre héros, Devil, traînent un peu en longueur sur le fait qu'il ne mérite pas l'amour de Felicity. Mais passé ce petit agacement, le reste se lit tout seul avec un grand plaisir, et la suite promet également de grands moments.
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